Résumé du livre : Joseph Czapski admirait profondément Proust, à tel point qu'il choisit de parler de lui lors des « causeries » que les prisonniers du camp de Griazowietz tenaient le soir pour échapper à leur quotidien : ces abstractions intellectuelles leur permettaient de survivre à l'horreur du camp. Il y parle de la vie et de l'oeuvre de Proust, de ses influences, de son époque. Un acte de résistance et une formidable description socio-historique de la littérature proustienne.